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22 décembre 2016

Liens familiaux

Cela fait maintenant deux ans que Papi est décédé et enterré, et que je me suis encore plus concentrée sur ma petite famille : mon mari, mes fils (+ copine respective) et ma mère. Cette neutralité vis-à-vis des questions d'héritage et des rapports de mon mari avec chacun de ses frères me met plus ou moins à l'écart de mes soeurs et belle-soeur. En fait, je ne suis pas neutre puisque les choix de mes beaufs sont contraires à mes propres convictions. Cela me touche d'autant plus que l'épouse de l'aîné est ma soeur aînée, mais je me range à l'opinion de mon homme : ce sont leurs affaires de familles, c'est à eux de les régler. Et eux-même ne font pas ingérence dans notre propre vie. Les repas ou sorties en famille élargies sont assez rares... 


L'épouse passe pour une "pièce rapportée" ? __ Soeur ou belle-soeur, elle est la tante de nos enfants et/ou la mère de nos neveux ou nièces. 
Le fait que mes parents se sont séparés quand j'avais six mois - et ont divorcé - m'a sans doute inculqué le refus de l'abandon, la valeur de la fidélité, du couple, de la présence active et affective du père pour ses enfants au côté de la mère, sauf "cas de force majeure" (Et cette exigence implicite envers le père n'a sans doute pas toujours été facile à vivre pour mon mari, père de nos deux garçons). Ma recette pour mieux vivre l'absence de mon père a été de l'aimer comme un oncle éloigné, même si chacune de mes soeurs a eu l'occasion de me dire : "Mais c'est notre père quand-même !"... Cela, plus que tout autre chose, m'a mise à part.

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