Tangram : Vrais ou faux jumeaux ?
Hormis par symétrie - en retournant le petit parallélogramme - ou par rotation, il n'y a qu'une seule façon de faire le très grand carré du tangram; mais il y a par exemple au moins quatre façons de former un trapèze-rectangle avec les cinq petites pièces du puzzle et huit façons pour chacune d'y associer les deux grands triangles afin d'obtenir un très grand trapèze-rectangle. On peut tout aussi bien avoir des "triplés", "quadruplés" ou davantage d'assemblages au contour identique.
Ces "jumeaux" ou faux doublons sont une illustration de la question
"Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?" :
L'assemblage avec points d'exclamation n'est qu'un "frère" asymétrique des triplés…
Pour les montagnes, certaines sont de "fausses jumelles" (attention à la hauteur de chaque sommet).
Le "flacon de parfum" (avec point d'exclamation) - voisin du sapin - est différent des pointes de flèche.
Pour les espèces de X ou "nœuds pap", on a bien des quadruplés :
les petits carrés jaune et rouge ne sont pas placés symétriquement, ainsi que les bleu et vert.
Cette recherche de combinaisons différentes pour une même silhouette permet de faire travailler ses méninges (ses "petites cellules grises" comme dirait un certain Hercule Poirot). On peut encore trouver d'autres solutions pour quelques silhouettes parmi celles-ci - comme le sapin - ou bien d'autres non présentées.