14 février 2011
Brin de Vie
Version originale Version que m'en a donnée Nicou
datant d'il y a une trentaine d'années : il y a six ou sept ans :
À mes trois amours,
en particulier au père des deux autres, que j'aime depuis près de trente ans.
Si mon mari venait à quitter ce monde à cause d'une maladie ou d'un accident (même un accident du travail), c'est une partie majeure de moi-même qui disparaîtrait, se désagrégerait. Mais ce n'est pas d'actualité (merci Bon Dieu) !
Selon moi, l'amour est extensible et il se transforme, devient peut-être moins romantique, plus lucide, mais reste toujours aussi intense du moment qu'on en entretient la braise en son coeur.
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